Un conseil en placement doit permettre de cerner avec précision le profil d’investisseur du client. Un défi aisément relevé grâce à une méthode de conseil innovante.
Le marché suisse de la banque et de l’assurance a changé dans de nombreux domaines ces dernières années. Les prestataires ouverts aujourd’hui aux connaissances et technologies nouvelles ont l’opportunité de conquérir de nouveaux clients. Dans le domaine du conseil en placement et en patrimoine précisément, la numérisation devient un outil indispensable.
Équilibre entre risque et rendement
Les investisseurs s’efforcent de tirer parti du succès ou de l’insuccès des entreprises, directement ou indirectement, par l’achat ou la vente d’actions, le but étant de préserver ou d’accroître la valeur de l’investissement opéré.
Les opérations de placement sont toutefois souvent idéalisées. On entend sans cesse parler de gains et de pertes spectaculaires. Chacun de nous a déjà été confronté à ce genre d’histoires dans son entourage. Cette proximité entre chance et risque fait du placement un marché intéressant pour les innovations.
Conseil en patrimoine: gare au syndrome de l’argent facile
Cas suivant: une personne reçoit soudainement une importante somme d’argent – suite à un héritage par exemple – mais ne s’y connaît absolument pas en placements. L’entourage privé recommande de placer l’argent et prodigue des conseils. Les gains sont accentués à l’excès et les risques, trop peu mis en évidence. Cela amène forcément des attentes excessives chez l’investisseur. Il vaut donc toujours mieux demander conseil à un institut financier ayant pignon sur rue.
Le profil d’investisseur classique
Dans des opérations de placement classiques, le conseiller commence par déterminer le profil d’investisseur du client potentiel. Il s’agit de déterminer de combien d’argent le client dispose pour son placement et quels risques il est personnellement disposé à prendre. Le conseiller recommande ensuite une combinaison de fonds et de produits analogues. Pour les volumes de placement plus importants, le conseiller constitue un portefeuille d’actions combinant différentes branches, plusieurs monnaies et des valeurs internationales.
Le facteur humain: la finance comportementale
Le profil d’investisseur classique permet de couvrir quelques problématiques centrales. Mais il ne tient pas compte de la personnalité de l’investisseur. Le domaine scientifique de la «finance comportementale» étudie toutefois avec précision cette relation entre le profil personnel et le succès des placements. La «finance comportementale» révèle des sources d’erreur d’ordre comportemental de nature à mettre en péril le succès des placements.
La Baloise et la Baloise Bank ont reconnu le potentiel de cette science. Elles ont mis au point une méthode de conseil qui applique les connaissances de la «finance comportementale» aux activités de placement. Le résultat est un conseil structuré qui permet de cerner la personnalité financière du client.
Outre le profil d’investisseur classique, la nouvelle méthode de conseil BLA (Baloise Life Advice) propose aussi un profil de décision individuel. Ces deux profils sont alors croisés pour définir un profil de mise en œuvre.
Le mix parfait entre théorie et pratique
La méthode BLA prévoit des entretiens de conseil approfondis et intensifs. Un questionnaire numérique permet de déterminer la personnalité financière et les projets de vie de la personne conseillée. Le logiciel résume les réponses pour en dégager des informations concrètes dont le conseiller discute ensuite avec l’investisseur. Ensemble, ils peuvent ainsi élaborer une stratégie et une proposition de placement qui correspondent aux objectifs personnels du client.
Baloise Life Advice (BLA)
Avec la méthode Baloise Investment Advice (BLA), la Baloise Bank intègre des éléments empiriques dans le conseil en placement. Les investisseurs bénéficient ainsi d’un conseil on ne peut plus personnalisé.
Nous vous guidons pas à pas, pour le succès de vos placement